Louana Clementoni a été élue Miss Tarn 2022 le le 14 mai, à Lavaur.
La revoilà. Si Louana Clémentoni est bien connue des podiums en Midi-Pyrénées, la jeune femme de 24 ans, née à Tououse mais qui a passé toute son enfance à Luchon, « une petite ville des Pyrénées à laquelle je suis très attachée », a décroché sa première écharpe de Miss Tarn 2022, le 14 mai dernier, à Lavaur. Une bouffée d’oxygène pour la jeune femme qui poursuit sa première année d’interne en médecine. Fille unique, « à mon grand désespoir », Louana aime « les choses simples de la vie, partager des moments en famille, entre amis. » Passionnée de pâtisserie, de voyages et de mode, Louana reste fidèle à sa citation préférée de Sennec : « La vie, ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre comment danser sous la pluie. »
Vous tentez votre chance pour la troisième année et vous décrochez donc votre première écharpe de Miss élue.
Et oui (grand sourire). La première fois que je m’étais présentée, j’avais terminé 2e dauphine du Tarn puis 2e dauphine régionale. L’an dernier, j’étais première dauphine du Tarn (derrière Hannah Friconnet, future Miss Midi-Pyrénées 2021) et 3e dauphine régionale. Là, je décroche l’écharpe de Miss Tarn 2022, c’est chouette.
Avec les changements de critères d’âge, vous avez pu vous représenter cette année. Pourquoi revenir une troisième fois ?
L’an dernier, dans ma première année d’internat, je ne pouvais pas aller jusqu’au bout de l’élection régionale. Là, ça a changé. En deuxième année, on a plus de latitude quant aux disponibilités. Donc, j’ai retenté ma chance. Car, ce coup-ci, je compte bien décrocher la couronne régionale (rires).
Comment avez-vous abordé cette élection de Miss Tarn 2022 ?
Comme je le fais toujours, comme un plaisir d’être là. Le fait de rencontrer des jeunes femmes d’un autre milieu que celui médical, qui partagent d’autres de mes passions, ça me plaît beaucoup. Les élections de Miss, c’est la mode, les paillettes, les belles robes. C’est ma bouffée d’air frais. Je ne participe pas aux élections pour me stresser, me prendre la tête. C’est déjà assez difficile dans ma vie professionnelle. Il y a bien plus grave que d’être élue ou pas.
Vous êtes désormais une des plus anciennes à participer à ces élections. Le 3 septembre, vous participerez à votre 3e élection de Miss Midi-Pyrénées.
J’aime bien ce rôle de grande sœur On se serre les coudes Quand les plus jeunes ont des questions, j’aime bien les accompagner. Au fil des années, j’ai pris un peu plus confiance en moi. Quand je me suis lancée dans les Miss, c’était un peu à visée thérapeutique (rires).
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